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 qui a dit que le romantisme n'existait plus? ► Declan & Zahara (terminé)

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MessageSujet: qui a dit que le romantisme n'existait plus? ► Declan & Zahara (terminé)   qui a dit que le romantisme n'existait plus? ► Declan & Zahara  (terminé) EmptyVen 20 Juil - 22:56

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qui a dit que le romantisme n'existait plus?
Declan R. Yaxley & Zahara E. McClary

Le bal du vingt-huit janvier s’achevait enfin, après de longues heures de danse et de surveillance. Un bal avait été organisé pour célébrer la non-réussite d’une opération de sauvetage d’Harry Potter à Azkaban. Le Seigneur des Ténèbres lui-même était à l’origine de cette idée de bal. C’était à Declan qu’il avait confié la mission de le réaliser, ce qui n’était pas étonnant car Declan était l’un de ses plus fidèles mangemorts à Poudlard. Ce qui était un peu plus surprenant, c’était de confier l’organisation du bal à un homme. Declan ne s’y connaissait pas vraiment en fête et il avait beaucoup réfléchi à la question. Heureusement, Zahara lui était venue en aide pour tout agencer et pour qu’il n’y ait aucun problème. Et le bal fut un succès, auprès de la plupart des élèves, qu’ils soient en faveur du Seigneur des Ténèbres ou non. Declan avait aussi pu remarquer que le Lord lui-même semblait en avoir été satisfait. A une heure avancée de la soirée, ou plutôt de la nuit car minuit était déjà passé depuis peu, lorsque les derniers élèves quittèrent la Grande Salle, Declan put enfin respirer. Seuls les professeurs et surveillants étaient encore présents. Le Seigneur des Ténèbres avait déjà quitté la fête. Les elfes de Poudlard nettoieraient la Grande Salle pendant la nuit et le lendemain, elle serait à nouveau propre. Là, la Grande Salle était méconnaissable. Il était heureux qu’ils n’aient rien à nettoyer eux-mêmes. Declan salua les professeurs qui rentraient chez eux et se dirigea vers la plus belle des assistantes. « Tu as fait du bon travail, je te félicite. » lui annonça-t-il avec un grand sourire. Il parlait bien sûr de son organisation pour la fête. Tout le monde semblait avoir été ravi par tout ça, d’après ce que Declan put remarquer. Zahara eut l’ombre d’un sourire puis s’en alla pour saluer à son tour quelques professeurs, laissant Declan en plan au milieu de la salle. Il se demandait ce qui venait tout juste de se passer, mais préféra ne pas en tenir compte. Est-ce qu’il avait dit ou fait quelque chose de mal ou de déplacé pour qu’elle l’évite comme ça ? Peut-être qu’elle se vengeait parce qu’il lui avait demandé de bien se tenir quand ils dansaient. Et il visait juste. En levant les yeux vers sa belle, il la vit discuter avec un professeur et en être particulièrement proche. Elle rigolait, lui frôlait l’épaule. Elle le séduisait. Sérieusement ? Declan l’observait, elle faisait ça pour se venger. De quoi exactement ? Il ne savait pas. Il n’avait rien fait qui méritait ça. Il s’était tenu à carreau, comme d’habitude. Soudain, Zahara lui jeta un coup d’œil. Cette fois, Declan n’eut plus aucun doute. Elle cherchait à provoquer une réaction chez lui, une réaction de jalousie. Et ça marchait. A nouveau, il se dirigea vers elle. « Puis-je te l’emprunter ? » demanda Declan au professeur, qui accepta. Heureusement, il ne semblait pas plus intéressé que ça par la belle McClary. Il était marié, elle devait le savoir. Declan fit signe à Zahara de le suivre un peu plus loin.

Une fois qu’ils furent dans un coin un peu plus tranquille, car beaucoup de professeurs étaient déjà partis, Declan prit les mains de la jeune femme dans les siennes. « A quoi tu joues exactement ? » dit-il calmement en plongeant son regard dans celui de Zahara. Il la savait capable de tout car elle agissait toujours comme une petite fille gâtée. Il avait parfois du mal à la comprendre, et il lui pardonnait tout parce qu’il l’aimait, mais elle agissait parfois très étrangement pour lui quand quelque chose la contrariait. Et là, il pouvait voir qu’elle était contrariée. « T’as dansé avec Spencer, j’ai bien vu la façon dont tu la regardais.. » lui dit-elle alors. Et bien ça, il ne s’y attendait pas du tout. Declan avait du mal à voir le rapport entre ça et le comportement de la jeune femme puisqu’il avait du mal à croire qu’elle était jalouse. Il ne lui appartenait pas, elle lui avait bien dit qu’elle ne voulait pas s’engager. Mais il se mit à sourire. Parce que jamais il ne regarderait une élève comme il regardait Zahara. « Et toi tu as bien dansé avec Derek, Eros et Oli.. » Il vit qu’elle commençait à se dire qu’il n’avait pas tord. Et encore, il ne comptait pas les nombreux adolescents qui l’avaient dévorés des yeux dans la robe sublime qu’elle portait. Zahara avait eu son petit succès pendant le bal et il avait déjà épuisé son quota de jalousie. C’était dur d’avoir des sentiments pour une si belle femme. Declan resserra un peu plus son emprise sur les mains de la belle dont il était amoureux. « Tu sais très bien que je ne regarderais jamais personne d’autre que toi. » Declan s’attendait à une réponse de Zahara, mais elle resta silencieuse. Au contraire, elle fuyait son regard. Il soupira. Il n’avait pas dit ça dans le but de l’effrayer. Il tenait à elle, elle le savait bien. Il ne lui avait jamais clairement dit qu’il était amoureux, mais c’était parce qu’il n’en avait jamais eu l’occasion. Et aussi parce qu’il savait que cela risquait de la faire définitivement fuir. « Viens boire un dernier verre chez moi. » demanda le beau professeur Yaxley. Ils seraient à nouveau plus tranquilles chez lui qu’à la vue de tous. A moins qu’elle n’ait déjà d’autres plans ? Declan l’interrogea du regard. Après une hésitation, elle accepta. Il se demanda pourquoi elle avait hésité. Peut-être que c’était à cause de ce qu’il venait de lui dire. Mais elle se mit à le suivre. Pendant le chemin, aucun d’eux ne parla. Declan se demandait s’il devait aller au bout de son plan. Son plan consistait à révéler ses sentiments à Zahara, clairement, ce soir là. Mais vu comment elle venait de réagir à sa simple allusion, il se demandait s’il ne devait pas rebrousser chemin. Zahara n’était pas prête à l’entendre. Il ne voulait pas créer de gêne entre son assistante et lui.

Quand ils arrivèrent à son appartement, il repensa soudain à ce qu’il avait fait en dernier avant de le quitter. Il avait un peu honte d’ouvrir la porte et s’arrêta devant. Zahara le regarda, étonnée. Declan n’avait pas l’habitude d’hésiter. « Et si tu attendais une ou deux minutes dehors ? » demanda le professeur Yaxley. Il aurait peut-être du dire ça autrement car tout ce qu’il arriva à faire, c’était attiser la curiosité de la belle blonde. « Ne dis pas de bêtises. » dit-elle en passant devant lui et en ouvrant elle-même la porte, sûrement curieuse de découvrir ce qu’il lui cachait. Elle put découvrir sur le sol des pétales de rose et quelques bougies qui s’allumèrent automatiquement quand elle passa la porte. C’était une ambiance qui se voulait romantique, parce que Declan avait prévu de parler à Zahara de ses sentiments, mais il s’était dégonflé entre temps. Alors oui, il était plutôt gêné. « Excuse-moi.. c’est stupide. » Il referma tout de même la porte derrière eux. Zahara le regarda, son expression était neutre et il se demandait ce qu’elle était en train de penser. Elle détestait, c’était sûr, elle détestait. Pourquoi il avait fait ça ? « J’ai pensé que.. ça pourrait te plaire. » se sentit-il obligé de répliquer. Il y avait des pétales de roses traçant un chemin jusqu’au lit. Le professeur s’approcha de la jeune femme et l’embrassa. Peut-être qu’il pourrait lui faire oublier tout ça. Cette mise en scène criait clairement qu’il avait quelque chose derrière la tête en l’emmenant là.
créée par Matrona



Dernière édition par Declan R. Yaxley le Sam 11 Aoû - 22:38, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: qui a dit que le romantisme n'existait plus? ► Declan & Zahara (terminé)   qui a dit que le romantisme n'existait plus? ► Declan & Zahara  (terminé) EmptyJeu 26 Juil - 5:40


Le bal cela avait été pour Zahara l'une de ses plus grandes réussites niveau organisation. Elle avait tenté de tout faire pour que cela plaise à tout le monde, sans pour autant montrer la supériorité du Seigneur des ténèbres et ainsi de ses partisans. Mais accompagner le professeur des potions, qui était tout de même son supérieur hiérarchique dans l'école n'était pas forcement le plus pratique. Néanmoins, elle n'était pas pour autant contre l'accompagner, elle était seulement étonnée qu'il lui demande, alors qu'il était le premier à ne pas vouloir montrer qu'ils étaient plus proches que l'éthique. Chose qui étonnait la belle blonde, qu'il lui demande d'être sa cavalière. Une fois le bal terminés, il fallait qu'ils restent jusqu'à la fin, tous deux, en attendant que tous les professeurs et élèves soient partis. Cependant, elle avait mal pris certaines choses dans la soirée, choses qu'avaient fait le professeur, même si l'une d'entre elle était plutôt un jeu du Lord et qu'ils ne pouvaient rien y faire. Elle lui en voulait d'avoir laissé cette gamine l'approcher un peu trop au goût de la McClary. Sans rien dire elle laissa Declan et s'approcha d'un autre professeur avec qui elle discuta un instant tout en sortant son attirail séducteur. Rendre jaloux le maître des potions était un jeu qu'elle affectionnait particulièrement, surtout que cela fonctionnait forcement toujours. Un sourire, un rire et le rester et il bouillonnerait intérieurement elle le savait et c'était ce qui lui plaisait particulièrement à la blonde, pouvoir le rendre fou de jalousie. Elle avait remarqué cela l'autre soir à la Tête de Sanglier qu'il était comme cela, il avait montré qu'il pouvait l'être chose qui plaisait d'un côté à la blonde, mais pouvait l'effrayer en même temps.

« Puis-je te l'emprunter ? » Zahara eu un léger sourire lorsqu'elle entendit la voix de Declan, elle avait réussi, il venait de nouveau l'arrêter. Comme s'il ne pouvait pas s'en empêcher. Elle gagnait une bataille, encore. Le professeur n'y vit aucun inconvénient, elle suivi donc Yaxley comme il le lui demandait. La blonde regarda celui qui était son supérieur hiérarchique avec un petit sourire en coin, qui se dissipa pour un regard étonné lorsqu'il lui pris ses mains dans les siennes. C'était la deuxième fois, qu'il le faisait en public, mais cela en était toujours aussi étrange tout de même pour autant. L'aînée McClary se demandait ce qu'il lui arrivait, certes, il y avait moins de professeurs, mais tout de même, elle lui lança un regard interrogateur, ne comprenant guère ce qui arrivait au beau professeur. « A quoi tu joues exactement ? » Zahara le regarda comme si elle ne voyait pas où il voulait en venir. Elle était vexée, c'était aussi simple que cela. Et c'était un faible mot pour ce qu'elle ressentait. C'était d'ailleurs étonnant qu'elle ne se soit pas énervée auparavant, plus vite, parce qu'en général il était rare que lorsqu'elle était dans cet état qu'elle se laisse faire aussi facilement. « T'as dansé avec Spencer, j'ai bien vu la façon dont tu la regardais.. » Néanmoins, Declan changeait beaucoup de choses chez elle, ce qui était assez étonnant, il la contrariait rien qu'en parlant avec une autre ou en regardant une autre. Certains diraient qu'elle est jalouse, sauf qu'elle ne savait pas ce qu'elle ressentait. Zahara était en train de s'attacher à lui, beaucoup plus qu'elle ne le voulait et cela lui faisait peur. Donc elle préférait oublier et éviter d'en parler, sauf que ce qu'elle lui a dit, c'était sorti tout seul, elle n'avait pas pu arrêter ses paroles. Le sourire qu'il eu décontenança encore plus la blonde qui ne savait guère comment le comprendre. S'il était heureux qu'elle dise cela, parce qu'il avait compris en partie qu'elle était jalouse ou non. « Et toi tu as bien dansé avec Derek, Eros et Oli.. » Ce n'était qu'un détail et puis elle était obligée de danser avec le premier ce n'étais pas par choix. Surtout que ce n'était qu'un gosse, bon d'accord il accompagnait la Mandleton donc pour Zahara cela pouvait être tout de même intéressant. Etant donné que dorénavant elle connaissait la couleur des sentiments que son petit frère avait pour la poufsouffle. La blonde eu cependant une petite moue ennuyée à la réponse du professeur des potions, même si elle pouvait reconnaitre qu'il avait parfaitement raison, elle n'aimait pas qu'il le rappelle. Comme si c'était très intéressant qu'elle ait dansé avec certaines personnes, après tout il n'y avait rien entre elle et Declan, ce n'était pas comme si elle le trompait non ? « Tu sais très bien que je ne regarderais jamais personne d'autre que toi. » Alors, cette phrase Zahara ne s'y attendait pas, enfin si un peu, mais elle ne pensait pas qu'il lui dirait tout de même. C'était gênant pour la jeune femme qui ne savait pas vraiment comment réagir à ce genre de mots et encore moins quoi y répondre. Elle baissa les yeux instinctivement afin de fuir le regard du mangemort. La blonde ne voulait pas qu'il s'attache à elle, elle savait que trop ce qu'elle pouvait faire lorsque l'un homme le faisait et elle ne voulait pas faire de mal à Declan. Non pas lui, surtout pas lui. Lorsque l'on allait trop vite avec elle, Zahara avait plutôt l'habitude de faire trois pas en arrière quand l'homme en faisait un avant. « Viens boire un dernier verre chez moi. » Cette phrase ce n'était pas une demande, mais plutôt une affirmation de la part du maitre des potions. Sauf qu'elle ne pouvait pas dire non, premièrement parce qu'elle en mourrait d'envie de se retrouver seule avec lui. Deuxièmement, parce que la dernière fois il avait été là pour elle et il n'avait même pas pû profiter de son assistante. Et Troisièmement, étant donné qu'elle préférait le retrouver lui qu'un autre ce soir-là, surtout avec ce qui s'était passé pendant le bal. La jalousie jouait avec les nerfs de la blonde qui ne comptait pas laisser une autre avoir son supérieur ce soir-là.

Etrangement la blonde resta des plus silencieuses alors, qu'ils allaient tous les deux chez lui. Un certain gêne pesait sur elle. Ainsi qu'une petite incompréhension dans ses sentiments, elle ne savait pas vraiment quoi faire. Elle appréciait plus que n'importe qui Declan, mais elle avait peur d'avancer avec lui. Zahara se sentait si bien à ses côtés cependant, elle ne pouvait pas avancer avec lui pour autant, quelque chose la freinait et elle n'arrivait pas à voir ce que cela pouvait bien être. En arrivant devant chez le mangemort, la blonde se demanda ce qui lui arrivait, il n'ouvrait pas la porte, chose plutôt étrange venant de lui, surtout si elle l'accompagnait. Généralement il était le premier à ouvrir la porte afin de partager un moment d'intimité avec elle, puisqu'il ne voulait pas le faire en dehors de ce lieu. L'assistante leva les yeux vers lui, sentant son hésitation. « Et si tu attendais une ou deux minutes dehors ? » Il n'était tout de même pas sérieux en lui disant cela ? Zahara le regarda un instant étonnée et amusée en même temps, de toute manière, il ne pourrait pas lui résister un moment, si elle utilisait son charme. Chose qu'elle ne fit pas cependant. « Ne dis pas de bêtises. » La blonde se glissa devant le professeur Yaxley et ouvrit la porte elle-même, puisque de toute manière, sa curiosité l'emportait sur tout ce qu'il pourrait lui dire comme excuse. En entrant elle ne put s'empêcher de laisser échapper un petit « Oh.. » d'étonnement, elle ne s'attendait pas à ce genre de choses. C'était donc à cause de cela qu'il ne voulait pas qu'elle rentre dans son appartement ? Les pétales de roses se trouvaient partout, elle sourit naturellement en regardant le spectacle magnifique qu'il avait préparé pour elle ? C'était vraiment pour elle qu'il avait fait cela ? « Excuse-moi.. c'est stupide. » Non c'était, si elle n'avait pas été une sorcière elle aurait dit que c'était de la magie. La jeune femme regardait l'appartement avec un sourire émerveillé, même si elle n"avait guère quoi penser de tout cela. Zahara le regarda en souriant, le voir gêné de cette manière c'était tout de même bizarre pour elle. Lui qui était pourtant naturellement si sûr de lui, là elle le trouvait tellement adorable.

« J'ai pensé que.. ça pourrait te plaire. » Et bien il avait réussi, cela lui plaisait, elle n'avait rien à redire sur ce qu'il venait de faire. La blonde était toute émerveillée devant ce qu'il avait pour elle, elle se retourna vers lui et avant qu'elle ne puisse lui répondre les lèvres du professeur Yaxley capturèrent les siennes. Zahara profita donc du baiser qu'il lui offrait avant de parler tout en continuant de regarder autour d'elle. Pour le coup elle en oubliait ce qui s'était passé au bal, tout y compris le fait qu'il lui ait dit qu'il fallait qu'elle arrête de le charmer. « Tu as fait tout ça pour moi ? » La jeune femme demanda cela d'une manière étrangement peu sur d'elle, elle n'était pas gênée, enfin si, mais ce n'était pas le fond du problème. La seule chose qu'elle attendait de lui était une réponse affirmative, comme si le fait qu'il lui réponde oui alors qu'elle s'en doutait fortement pouvait lui faire du bien. Il l'effrayait en quelque sorte, sauf qu'il ne devait surtout pas le savoir, elle ne partirait pas pour autant parce qu'elle voulait profiter de ce qu'il venait de lui offrir. « Tu sais... » La blonde marqua une légère pause, elle cherchait ses mots, elle ne savait pas vraiment quoi lui dire. « ...tu n'étais pas obligé de faire ça pour moi... » Elle lui dit ce qu'elle pensait et c'était la vérité, même si cela lui faisait plaisir à un point qu'elle s'en étonnait elle-même. Zahara estimait juste qu'elle ne méritait pas qu'il fasse cela pour elle, c'était simple. Surtout avec la manière dont elle le traitait alors, que lui faisait tout pour elle et la rendre heureuse et bien dans sa peau. Il lui avait prouvé lorsqu'elle avait dormi chez lui juste après être arrivée de nouveau à Poudlard, lors de la dispute avec son paternel. « Declan, c'est adorable. » Alors, elle aurait pu dire un tout autre mot tellement plus expressif, mais adorable était celui qui était venu en premier.

« Tu crois que je mérites tout ça alors, que je ne fais que te dire que je ne veux pas me mettre en couple ? Même si je dois avouer que maintenant, je sais vraiment plus où j'en suis. Ce n'est pas que tu me plais pas, hein ? Tu sais très bien que tu me plais, sinon de toute manière je ne serais pas là. Enfin, je ne sais pas, je fais que te repousser et toi tu fais la chose la plus romantique à laquelle je n'ai jamais eu le droit. Declan... sérieusement, je ne te mérite pas. » Bon d'accord, on pouvait se demander si ce discours n'était pas un message de rupture en y pensant. Sauf qu'elle n'était pas avec lui donc elle ne pouvait pas rompre en même temps. Oui certes, elle pouvait arrêter leur relation tout de même, néanmoins, elle ne comptait pas le faire loin de là. C'était juste qu'elle était complètement perdue, mais qu'elle se rendait compte qu'elle le voulait lui et plus aucun autre comme s'il était capable de lui faire oublier tous les autres. Sauf qu'elle ignorait ce qu'était ce sentiment. Zahara regarda le professeur et s'approcha de lui pour l'embrasser passionnément. Oui il y avait souvent eu le droit, mais ce baiser-là était différent, c'était comme si elle lui avouait certaines choses inconsciemment, qu'elle ne pourrait pas faire en réalité.
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MessageSujet: Re: qui a dit que le romantisme n'existait plus? ► Declan & Zahara (terminé)   qui a dit que le romantisme n'existait plus? ► Declan & Zahara  (terminé) EmptySam 28 Juil - 5:04

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qui a dit que le romantisme n'existait plus?
Declan R. Yaxley & Zahara E. McClary

« Oh... » fut la réaction de Zahara lorsqu’elle découvrit les pétales de roses au sol. Declan était légèrement nerveux sur le coup. Il avait eu pour intention de parler de ses sentiments à Zahara après le bal, mais il n’avait pas osé le faire. Si elle avait répondu positivement, alors il l’aurait attiré jusqu’à son appartement. Si elle avait répondu négativement, elle ne serait sans doute plus près de lui et il aurait pu tout ranger en rentrant. Mais là, la situation le dépassait légèrement. C’était de l’imprévu complet. Il venait d’étonner la jeune femme avec ce geste, d’après l’exclamation qu’elle venait de faire. Il la regardait nerveusement tout en attendant une seconde réaction, mais préféra prendre les devants en s’excusant, en disant que tout ça était stupide. Il espérait qu’elle oublie vite tout ça. Declan ne pouvait pas perdre Zahara pour un simple geste qu’il pensait être romantique. Il ignorait si elle était le genre de femme à s’attacher à ces détails. Elle continua d’observer les pétales et les bougies. Elle se mit à sourire. Le professeur Yaxley constata avec étonnement que son assistante avait l’air émerveillée. Il aurait même pu voir qu’elle avait les yeux brillants s’il osait vraiment la fixer. Pour une fois, il était embarrassé. C’était rare mais cela arrivait. Zahara avait une sorte de pouvoir sur lui qui lui faisait parfois perdre ses moyens. Il ajouta alors qu’il pensait que cette mise en scène aurait pu plaire à Zahara. Il n’était toujours pas convaincu que cela lui fasse vraiment plaisir. Elle trouvait peut-être ça trop pour elle. Ils n’étaient pas en couple, loin de là. Ils n’avaient pas une relation stable. Mais pour lui, elle méritait chacune de ces pétales et chacune de ces bougies. Pour tenter de lui faire tout oublier, il s’approcha d’elle et l’embrassa. Ils n’avaient pas à en parler si elle ne le souhaitait pas, il pouvait très bien passer à la suite immédiatement. Il connaissait Zahara et quand elle voulait quelque chose, elle l’avait. Mais quand il brisa le baiser, elle continua à regarder autour d’elle. Elle n’était décidemment pas d’avis à laisser tout ça derrière eux. C’était peut-être une bonne chose. Il attendit alors qu’elle parle. « Tu as fait tout ça pour moi ? » demanda Zahara comme si elle n’en croyait pas ses yeux. Declan se demanda s’il était le premier à montrer un geste si romantique envers elle, ce qui l’étonna. Zahara était si parfaite qu’elle devait avoir des tas de prétendants plus imaginatifs que lui. Il hocha la tête pour lui confirmer la chose. Bien sûr que c’était pour elle qu’il avait fait ça. Il n’y avait que pour elle qu’il ferait ce genre de chose. Elle était la seule femme qui comptait à ses yeux. Elle avait l’air légèrement rassurée quand il répondit à l’affirmatif. Comment pouvait-elle-même douter qu’il fasse ça pour une autre ? « Tu sais... » dit la jeune femme en cherchant ses mots. Declan attendit qu’elle reprenne la parole. Elle avait l’air encore fragile. Ces derniers temps, elle avait l’air plus fragile que d’habitude, c’était une constatation. Cette fragilité lui allait bien. « ...tu n'étais pas obligé de faire ça pour moi... » Declan était légèrement étonné en entendant cette fin de phrase. Il ne faisait pas ça parce qu’il se sentait obligé de le faire pour une quelconque raison. Il avait fait ça pour lui faire plaisir, parce qu’elle le méritait en étant la jeune femme parfaite qu’elle était. « Declan, c'est adorable. » ajouta-t-elle alors. Elle avait l’air heureuse et il l’était aussi. Il espérait qu’elle était en train de lui dire la vérité et que ça lui faisait vraiment plaisir. Alors il avait réussi à obtenir l’effet escompté. Il ne savait pas trop ce qu’il espérait qu’il se passerait ensuite, mais il sentait Zahara toujours dans ses pensées. Elle avait l’air de vouloir encore parler. Il n’y voyait aucun problème, il était toujours partant pour une conversation et tout ce qu’il voulait, c’était que Zahara se sente bien avec lui.

Au bout d’un moment, Zahara leva à nouveau la tête vers Declan. Elle semblait avoir réfléchi, vouloir lui dire ce qu’elle avait sur le cœur. « Tu crois que je mérites tout ça alors que je ne fais que te dire que je ne veux pas me mettre en couple ? » lui demanda la belle blonde. Declan était légèrement déstabilisé car il ne s’attendait pas à ce que Zahara se mette à parler si ouvertement de leur relation. Habituellement, ils se contentaient de ne pas en parler et à chaque fois que Declan abordait la question, Zahara se braquait et parlait d’autre chose. Cette fois, c’était elle qui relançait le sujet, ce qui le fit redouter un mauvais présage. « Même si je dois avouer que maintenant, je sais vraiment plus où j'en suis. » C’était une première nouvelle à laquelle Declan ne s’attendait pas. Zahara avait toujours été sûre d’elle, elle lui avait toujours affirmé haut et fort qu’elle ne voulait pas être en couple avec lui, qu’elle était jeune et qu’elle ne lui appartenait pas. Il savait même qu’elle fréquentait d’autres hommes que lui, c’était elle qui le lui avait dit, même s’il avait eu du mal à l’encaisser. Il n’avait pas voulu la perdre et il avait accepté qu’ils n’aient qu’une relation non-exclusive. « Ce n'est pas que tu me plais pas, hein ? Tu sais très bien que tu me plais, sinon de toute manière je ne serais pas là. Enfin, je ne sais pas, je fais que te repousser et toi tu fais la chose la plus romantique à laquelle je n'ai jamais eu le droit. » Declan eut un léger sourire quand Zahara lui dit qu’il lui plaisait. Il le savait, mais cela lui faisait du bien de l’entendre. Zahara n’avait pas pour habitude de lui distribuer des compliments et parfois il finissait par se dire qu’elle ne faisait que se servir de lui. C’était rare qu’il pense ça, mais ça lui arrivait. Il n’avait pas l’habitude d’être amoureux, c’était rare, alors il tenait beaucoup à la belle blonde. Il était content d’avoir fait ce geste romantique. Il pensait sérieusement que Zahara avait le droit à ce genre de gestes au quotidien. Elle le méritait tellement. « Declan... sérieusement, je ne te mérite pas. » termina-t-elle alors. Le regard de Declan était rivé dans celui de la jeune femme. Il voyait qu’elle était réellement sérieuse, elle pensait ne pas le mériter. Elle avait tord. Elle méritait qu’un homme prenne soin d’elle, elle méritait d’être traitée avec respect et amour. Il serait toujours là pour elle si elle l’acceptait. Alors Zahara s’approcha de Declan et l’embrassa passionnément. Le baiser lui parut alors différent d’un baiser habituel de la part de la jeune femme. Il se demanda si c’était l’effet pétales de roses. Il avait l’impression qu’elle l’aimait. C’était très étrange comme impression parce qu’il s’était toujours dit que Zahara n’était pas amoureuse de lui, qu’elle n’était pas si attachée à lui. Et dans ce baiser, il avait l’impression du contraire. Quand ils se séparèrent, il posa son front sur celui de la jeune femme. Comment lui faire comprendre qu’il serait toujours là pour elle si elle le souhaitait ? « Je tiens beaucoup à toi, Zahara. Tu es la plus belle chose qui me soit arrivée ces dernières années. Il lui prit les mains et continua, Tu mérites un homme qui prendra soin de toi, qui t’aimeras pour qui tu es et non pas seulement pour ton incroyable beauté. » Il essayait de lui remonter le moral, de lui faire prendre confiance en elle. Zahara était non seulement une belle femme, mais elle était aussi une femme forte, avec de bonnes valeurs, une fille déterminée, une sœur protective, une amante explosive. Elle avait beaucoup de qualités qu’il pourrait passer des heures à citer.

Declan lâcha les mains de la jeune femme pour emprisonner son visage dans ses mains. Il la regarda comme si elle était la huitième merveille du monde. Il caressa sa joue à l’aide de son pouce, doucement et avec beaucoup de tendresse. Si seulement il mettait sa fierté de côté, s’il se laissait aller et qu’il lui avouait qu’il l’aimait, s’il était sincère avec elle. Mais il avait toujours cette peur incontrôlable, celle qui lui disait qu’elle le fuirait s’il fallait qu’elle s’engage, si elle savait réellement ce qu’il pensait d’elle. Declan était avant tout un être humain et il ne pouvait pas se permettre de perdre la plus précieuse partie de sa vie. Ils se regardèrent dans le blanc des yeux pendant un long moment sans qu’aucun d’eux n’ose parler ou esquisser un geste. « Zahara, accepte moi à tes côtés. Je prendrais soin de toi. Tu sais que tu peux me faire confiance. Je sais que tu ne veux pas t’engager et je ne te demande pas de m’épouser, mais laisse moi une chance. » Declan parlait d’une voix calme, avec une pointe de désespoir dans son ton. Quand il avait essayé d’avoir cette conversation par le passé, Zahara n’avait jamais rien voulu entendre. Cette fois, la belle blonde l’avait laissé parler, elle ne l’avait pas coupé et elle l’avait écouté jusqu’au bout. Quelque chose avait changé, il en était persuadé et c’était pour ça qu’il tentait une nouvelle fois sa chance. Si Zahara acceptait d’être sa petite amie, alors il pourrait prendre soin d’elle chaque jour, elle arrêterait de voir d’autres hommes que lui, il la protègerait. Il se prenait déjà à rêver qu’elle accepte. Il ne voulait pas que ce moment soit dramatique, ainsi il offrit un sourire à la demoiselle. Le but de Declan n’était pas de mettre la pression sur la épaule de la belle Zahara, non. Le professeur ne voulait pas que la belle McClary se sente contrainte à l’accepter, il voulait qu’elle le veuille réellement auprès d’elle. « S’il y a une personne sur terre qui mérite le bonheur, c’est bien toi. Je ferais tout pour te rendre heureuse, je te le promets, Zahara. » dit le professeur en espérant la convaincre. On voyait qu’il ne se forçait pas et que ces paroles lui venaient du cœur. Declan pensait toutes ces choses, il y pensait depuis des mois, voir des années. Il avait enfin l’occasion de pouvoir laisser ses sentiments s’exprimer. Il ignorait pourquoi Zahara n’avait pas mis fin à son discours comme elle l’avait toujours fait, mais il prit ça pour une chance, un miracle. Il était tellement amoureux d’elle, il l’aimait encore plus à chaque seconde. Il voulait l’embrasser, lui faire l’amour, l’épouser. Il l’aimait. Mais tout ce qu’il attendait, c’était une réponse positive de sa part. Zahara était la seule à pouvoir contrôler la suite de l’histoire, les cartes étaient dans ses mains et Declan ne pouvait qu’attendre. Cela faisait presque deux ans qu’il était tombé amoureux d’elle, c’était la première fois qu’il avait l’occasion de le dire à voix haute. Le pouce de Declan continuait toujours de caresser la joue de sa belle assistante. Il n’avait plus que deux mots à dire. Deux stupides mots. Et pourtant, il avait toujours cette peur en lui. Ces mots, il ne les disait jamais. Ils étaient lourds de sens. Il se pinça un instant les lèvres et prit son courage à deux mains. « Je t’aime. Je suis amoureux de toi depuis des mois, depuis notre première nuit en Biélorussie… je suis une vraie merde pour exprimer mes sentiments normalement, mais je ne peux plus faire semblant. Je ne peux plus te voir avec d’autres hommes. Choisis-moi. » A présent, Declan avait le cœur plus léger. Il venait de se débarrasser d’un poids. Mais ce n’était pas terminé, il n’aurait la paix que quand il connaitrait la réponse de Zahara. Elle n’était pas obligée de l’aimer, mais elle pouvait toujours essayer de lui laisser une chance. Elle était gagnante dans l’histoire. Elle n’avait qu’à l’embrasser, qu’à lui dire qu’elle lui serait fidèle, qu’elle se tiendrait à ses côtés. Declan ignorait si Zahara accepterait d’abandonner les autres hommes pour lui, mais il tentait sa chance. Savoir qu’elle entretenait le même genre de relation avec d’autres le rendait jaloux et furieux et il avait parfois l’impression qu’elle en jouait. Il ignorait pourquoi. Mais si elle ne changeait pas, il n’aurait pas d’autres alternatives que de se retirer de la vie sentimentale de la jeune femme.
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Dernière édition par Declan R. Yaxley le Sam 11 Aoû - 22:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: qui a dit que le romantisme n'existait plus? ► Declan & Zahara (terminé)   qui a dit que le romantisme n'existait plus? ► Declan & Zahara  (terminé) EmptyDim 29 Juil - 13:14


Le romantisme Zahara n'en avait pas vraiment l'habitude, puisque malgré le fait que beaucoup de membres de la gent masculine la convoite, elle avait plutôt tendance à avoir le droit à des mecs qui tentaient tout pour l'avoir. Mais ils ne voulaient en général que profiter d'une nuit, rarement de plus histoire de l'ajouter à leur palmarès de nuits. Sauf que malgré ça, elle n'avait vraiment pas l'habitude qu'un homme soit aussi attentionné avec elle qui Declan. Les deux seuls qui l'étaient furent son père et son frère, ils étaient toujours là, chacun pour elle, lorsqu'elle en ressentait le besoin. Mais le professeur Yaxley avait été le plus loin et elle ne savait guère comme réagir à ça, elle avait peur, totalement peur, sauf qu'elle voulait profiter de ce cadeau qu'il lui offrait en même temps. La blonde était perdue, elle ne savait plus quoi faire avec son mangemort, elle ne savait plus ce qu'elle ressentait pour lui, si cette attirance qu'elle avait pour lui était bien plus ou non. Elle était presque aussi effrayée que le jour où il l'avait amenée pour sa première année à Poudlard. Cette séparation qui se fit entre eux après le baiser qu'elle offrit à Declan, fit peur à Zahara. Elle avait peur qu'il ne comprenne pas ce qu'elle voulait dire et qu'il lui en veuille. La blonde ne faisait pas cela parce qu'elle ne voulait pas de lui, non c'était juste qu'elle estimait que pour lui, il y avait beaucoup mieux qu'elle. Quelqu'un de son âge lui irait beaucoup mieux, enfin c'était ce qu'elle pensait, sauf que l'idée de le voir avec une autre lui faisait mal étrangement mal. Elle leva ses yeux émerveillés vers ceux du professeur, inquiète de sa réaction. « Je tiens beaucoup à toi, Zahara. Tu es la plus belle chose qui me soit arrivée ces dernières années. Tu mérites un homme qui prendra soin de toi, qui t'aimeras pour qui tu es et non pas seulement pour ton incroyable beauté. » Ce genre de déclaration la belle, n'en avait pas l'habitude et elle ne savait pas comment y réagir, en général elle fuyait le plus possible le sujet. Les mains dans celle de Declan, la rassura un petit peu, elle avait peur, vraiment peur de tout ce qui pourrait arriver trop vite pour elle. Zahara craignait de ne pas pouvoir gérer les évènements qui arriveraient par là suite, si jamais il voulait plus que ce qu'elle était prête à lui offrir. S'il continuait sur cette lancée, elle ne savait pas comment elle réagirait et ce n'était pas le moment de le renvoyer bouler. Pour elle le perdre maintenant, serait la pire des choses qui pourraient lui arriver. Elle ne voulait pas le perdre, c'était aussi simple que cela. Sauf que le dire pour l'aînée McClary serait certainement trop difficile pour l'instant, mais le fait de s'en rentre compte était un bon début.

La jeune femme eu un léger sourire lorsqu'elle sentit les mains sur ses joues du mangemort. Elle regarda donc ses yeux en le fixant de ses yeux bleus. Elle se sentait idiote de le regarder de cette manière pourtant, elle ne pouvait pas s'empêcher de le regarder d'un air admiratif. Pourtant, elle n'avait jamais fait ce genre de choses avec lui, bien au contraire, enfin ce n'était pas qu'elle ne l'admirait pas non plus quand même, mais elle le regardait plutôt avec un côté sauvage qu'enfantin. La blonde et le brun se regardèrent un moment sans parler, sans rien faire comme s'ils étaient figés dans le temps. La McClary attendait que le maître des potions la rassure et brise ce silence en premier. Ce qu'il fit. « Zahara, accepte moi à tes côtés. Je prendrais soin de toi. Tu sais que tu peux me faire confiance. Je sais que tu ne veux pas t'engager et je ne te demande pas de m'épouser, mais laisse moi une chance. » Ce n'était réellement pas ce à quoi elle s'attendait et encore moins ce dont elle avait besoin à ce moment-là. Il ne fallait pas qu'il parle de ça, elle ne savait déjà plus quoi faire, alors qu'il commence à se lancer sur ce sujet ne l'aidait pas, mais alors là pas du tout. Elle avait peur, tellement peur, elle ne pouvait pas le laisser faire ce genre de choses avec elle, enfin elle pouvait, elle devrait les laisser faire. Grâce à lui, elle serait tellement mieux qu'avec un crétin qui ne penserait qu'au fait qu'elle soit belle. Comme il l'avait dit précédent, elle avait d'autres qualités qui faisaient d'elle la jeune femme qu'elle était. La fille McClary ne savait guère quoi répondre, elle se retenait de répliquer, non pas qu'elle veuille dire quelque chose de mal. Bien au contraire, c'était juste qu'elle estimait qu'il ne devait pas la choisir elle, parce qu'elle le ferait souffrir et elle ne voulait pas le faire. Zahara ne voulait pas en faire voir des vertes et des pas mûres à Declan, lui qui était tellement attentionné avec elle, ne méritait pas ce genre de traitements. Sauf qu'avec la blonde, si elle acceptait de se mettre avec lui, il y aurait forcement le droit. Elle était ainsi. « S'il y a une personne sur terre qui mérite le bonheur, c'est bien toi. Je ferais tout pour te rendre heureuse, je te le promets, Zahara. » Les mots qu'il prononçait sonnaient étrangement aux oreilles de la jolie blonde. Ils avaient une signification, qu'elle aurait préféré ignorait, non elle ne le méritait pas, pas avec son sale caractère, c'était impossible. Bon bien sûr, elle pouvait l'avoir, elle l'aurait si elle le voulait, sauf qu'elle ne le voulait pas. Declan ne pouvait pas comprendre ce qu'elle ressentait, il ne pouvait pas comprendre qu'elle était bien trop fière pour pouvoir se laisser aller et lui montrer que sauter le pas lui faisait peur. Elle en était incapable, parce qu'elle était bien trop imbue d'elle-même pour faire voir une faiblesse chez elle. Déjà qu'il l'avait vu pleurer après la dispute avec Keith McClary, elle ne pouvait pas se permettre d'être tout aussi fragile devant le mangemort.

Tout en sentant le pouce du professeur sur sa joue elle sourit, elle ne pouvait pas répondre parce qu'il ignorait comment le faire. Il fallait qu'elle fuit ce qu'il lui disait, sauf qu'elle était incapable de bouger. Quitter les bras de Declan lui était impossible alors partir de l'appartement encore moins. Il fallait juste qu'elle calme cette trouille qui était en train de séjourner en elle et la mangeait comme des charognards pouvait décortiquer la carcasse d'une pauvre bête morte. Sauf que Declan parla beaucoup plus vite qu'elle ne s'y attendait. « Je t'aime. Je suis amoureux de toi depuis des mois, depuis notre première nuit en Biélorussie... je suis une vraie merde pour exprimer mes sentiments normalement, mais je ne peux plus faire semblant. Je ne peux plus te voir avec d'autres hommes. Choisis-moi. » Il l'aimait ? Donc il l'aimait. C'était pour ça qu'il était aussi attentionné ? Certainement. Sauf que cette révélation, elle ne s'y attendait pas. Bien sûr, n'importe qui pourrait le comprendre, mais elle non, elle connaissait la jalousie qu'il avait lorsqu'elle se retrouvait avec un autre homme. Cependant, ses sentiments elle les ignorait complètement. « Tu m'aimes ? » La voix de Zahara était cassée, elle vivait un choc, c'était impossible, il ne pouvait pas l'aimer, elle était horrible avec lui et ne lui laissait aucune chance de s'accrocher. « Pourquoi ? » Ce mot sorti tout seul de la bouche de la jeune femme, c'était ce qu'elle pensait elle se demandait pour quelle raison il était tombé amoureux d'elle alors, qu'elle n'étais qu'une petite fille pourrie gâtée difficile à vivre. Si Athénora était là, elle aurait certainement dit « Tu vois je te l'avais dit qu'il ne voulait que toi et plus. » Sauf qu'il fallait qu'elle se sorte la voix de sa meilleure amie de sa tête, elle ne supportait pas quand celle-ci lui annonçait ce genre de phrase. « Je ne mérite pas que tu m'aimes, je suis qu'une gamine, je suis infecte avec toi, je ne suis qu'une peste allumeuse, je t'ai toujours dit non, que c'était impossible que je ne voulait pas officialiser les choses. Je t'ai toujours repoussé comme si tu n'étais qu'un vulgaire sang de bourbe et tu me dis que tu m'aimes ? » Zahara ferma les yeux un instant, elle se sentait fragile, trop d'ailleurs, s'auto-dénigrer de cette manière n'était guère dans les habitudes de la McClary. Elle était prête à se mettre à pleurer si elle continuait sur cette lancée. « Je ne te comprends pas. » Cependant, elle espérait que l'allusion aux moldus ne lui déplaise pas trop non plus parce que cela serait tout de même catastrophique pour la blonde.

« Declan je ne sais pas ce que je veux, j'en ai aucune idée. Je ne sais pas ce que je ressens, je ne veux pas te perdre c'est sur. » Zahara n'offrait pas le non catégorique auquel elle l'avait habitué lorsqu'ils parlaient de ce genre de choses. C'était un peut-être, elle lui laissait sa chance, enfin on pouvait presque appeler cela un oui. « Te perdre serait la pire chose qui puisse m'arriver maintenant. » Elle était sincère tout ce qu'elle venait de lui dire, c'était ce qu'elle pensait et ressentait, mais son seul problème était la manière de le dire. Elle ne savait pas comment il pourrait le prendre, si c'était mal de parler de cette manière. « J'ai peur. » Ces mots-là également échappèrent à la jeune femme sans qu'elle ne puisse y faire grand-chose.
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MessageSujet: Re: qui a dit que le romantisme n'existait plus? ► Declan & Zahara (terminé)   qui a dit que le romantisme n'existait plus? ► Declan & Zahara  (terminé) EmptyDim 12 Aoû - 4:41

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qui a dit que le romantisme n'existait plus?
Declan R. Yaxley & Zahara E. McClary

Declan était réellement amoureux de Zahara depuis plus de deux ans. Il ne le lui avait jamais réellement dit, même si l’amour qu’il portait pour elle se voyait à des kilomètres. Mais soit elle faisait semblant de ne pas le voir, soit elle refusait de voir la vérité en face. Il se demandait si son âge la gênait et il savait que oui. Il avait bientôt trente ans et elle n’en avait que vingt. Même si elle ne lui avait pas dit qu’il était trop vieux pour elle, elle lui avait quand même dit qu’elle ne comptait pas se contenter de lui, qu’elle était jeune et qu’elle s’amuserait autant qu’elle le souhaitait. Cela revenait à peu près au même. Declan n’était plus vraiment à l’âge où il pouvait s’amuser autant qu’elle. Il était à un âge où il voulait se poser. Et c’est pour cette raison qu’il avait décidé de déclarer sa flamme à la belle blonde ce soir là, le soir du bal. Declan ne voulait pas perdre plus de temps à être amoureux d’une jeune femme qui n’envisagerait jamais de lui laisser une chance et de lui être fidèle alors qu’il pourrait en chercher une autre. Bien sûr, ses sentiments pour Zahara étaient bien trop forts pour qu’ils disparaissent du jour au lendemain, mais il se ferait une raison s’il voulait un jour avoir une famille. Zahara n’était pas encore prête et il ne pouvait pas attendre encore des années. Alors il fallait qu’elle lui fasse confiance, qu’elle l’accepte. Il était sûr de la rendre heureuse et de ne jamais l’abandonner. Étonnamment, Zahara ne lui coupa pas la parole quand il commença à donner dans le sentimental alors qu’elle n’hésitait pas d’habitude. Il lui demanda de lui laisser une chance de lui prouver qu’elle pouvait être heureuse avec lui et lui faire confiance. Il voyait sur le visage de Zahara de l’hésitation et de la peur. Alors il continua de parler tout en essayant de la rassurer. Il avait déjà fait un grand pas et il ne fallait pas qu’ils retournent en arrière. Lui aussi avait peur mais ne le montrait pas. Il avait peur qu’elle se braque et qu’elle s’en aille, qu’elle ne veuille plus rien entendre de ce qu’il avait à lui dire alors qu’il n’avait toujours pas prononcé ces deux mots si importants et que s’il faisait par de ses sentiments, qu’il n’y ait pas de réciprocité. Dans un dernier élan, il se jeta à l’eau. Il lui dit qu’il l’aimait avant qu’elle n’ait pu répondre le moindre mot. Declan lui dit qu’il était amoureux d’elle depuis leur voyage, c'est-à-dire environ deux ans et qu’il ne supportait plus de la voir traîner autour d’autres hommes que lui. Il était incroyablement jaloux mais sa jalousie était proportionnelle au nombre d’hommes qui tournaient autour de la belle McClary. Il lui demanda de le choisir en derniers mots. A présent, il ne savait pas réellement à quoi s’attendre. Il se doutait bien qu’elle ne lui sauterait pas dans les bras en lui disant qu’elle était aussi folle de lui, mais il ne voulait pas être rejeté. Il avait peur qu’elle ne ressente absolument rien pour rien, rien d’autre qu’une attirance sexuelle et cette révélation pourrait le briser. Ainsi, le professeur préféra vider son esprit plutôt que de trop réfléchir comme il avait l’habitude de le faire. Il regarda la belle Zahara dans les yeux. Elle semblait surprise, déboussolée. « Tu m'aimes ? » dit-elle, sous le choc, la voix légèrement cassée. Serait-ce possible qu’elle ne l’ait jamais vu ou même deviné ? C’était pourtant plus qu’évident. Les yeux de Declan brillaient quand il la regardait ou quand elle souriait. Il était toujours plein d’attentions envers elle, contrairement au reste du monde. Elle était spéciale pour lui. « Pourquoi ? » lâcha-t-elle ensuite. Pourquoi ? Il n’y avait pas vraiment de réponse à cette question. Il n’y a pas de raison à l’amour, on ne choisit pas, on subit ses sentiments. Il plissa les yeux. Attendait-elle qu’il lui réponde à ça ? Il tenait beaucoup à elle, elle était merveilleuse. Voilà pourquoi.

Il ignorait encore ce qui se passait dans la tête de Zahara à ce moment là et il aurait beaucoup aimé le savoir. Pour le moment, elle réagissait plutôt bien – ou du moins, elle n’avait pas mal réagit, elle était toujours là avec lui et n’était pas encore partie. Declan priait pour qu’elle continue à lui parler, elle ne pouvait pas tout garder pour elle, tout intérioriser. Il fallait qu’elle lui parle, qu’elle lui fasse confiance. « Je ne mérite pas que tu m'aimes, je suis qu'une gamine, je suis infecte avec toi, je ne suis qu'une peste allumeuse, je t'ai toujours dit non, que c'était impossible que je ne voulais pas officialiser les choses. Je t'ai toujours repoussé comme si tu n'étais qu'un vulgaire sang-de-bourbe et tu me dis que tu m'aimes ? » La situation prenait une tournure qu’il n’avait pas envisagé. Ce qu’elle disait n’était peut-être pas un très bon signe pour lui. Zahara se sentait inférieure par rapport à lui alors que c’était tout le contraire. Mais il y avait une part de vérité dans ce qu’elle disait. C’est vrai qu’elle n’était qu’une gamine, qu’elle était infecte avec lui et qu’elle allumait les hommes, mais ça faisait partie de son caractère. Elle grandirait, elle deviendrait plus mature rapidement. Elle se calmerait aussi au niveau de ses conquêtes. Tout ça, c’était dut à la jeunesse. Jusque là, Zahara l’avait en effet toujours repoussé et lui, il continuait à s’accrocher. Peut-être qu’il était un peu maso. En plus, elle venait de le comparer à un sang-de-bourbe, ce qui le fit un peu grimacer. Il n’avait rien à voir avec un sang-de-bourbe. Il était de sang-pur. Pourtant, il ne dit rien. Il l’aimait. C’était aussi simple que ça. « Je ne te comprends pas. » ajouta-t-elle. Declan lui offrit un léger sourire. Il pouvait comprendre qu’elle ne le comprenne pas, mais il voulait savoir ce qu’elle en pensait, si elle lui laisserait une chance maintenant qu’elle savait qu’il était amoureux d’elle ou si elle le verrait différemment, si elle ne pourrait plus le regarder en face. Il espérait que ça ne compromette pas son rôle d’assistante à ses côtés lors de ses cours. Declan avait peut-être fait une belle connerie en l’invitant à ses côtés à Poudlard. Mélanger travail et vie privée, ce n’était pas l’idéal. « Declan je ne sais pas ce que je veux, j'en ai aucune idée. Je ne sais pas ce que je ressens, je ne veux pas te perdre c'est sur. » Il détourna le regard un instant, pour encaisser. D’habitude, Zahara évitait la discussion, passait à autre chose. Mais là, elle lui disait qu’elle ne savait pas ce qu’elle ressentait pour lui, qu’elle ne savait pas si elle l’aimait ou pas. Et c’était peut-être plus difficile à entendre. Elle ne savait pas si elle pouvait lui faire confiance, si elle voulait être avec lui. Et lui ne savait pas quoi faire pour la convaincre. Il avait l’impression de ramer. « Te perdre serait la pire chose qui puisse m'arriver maintenant. » dit-elle ensuite. Cette phrase fit tout basculer dans l’esprit du professeur. Peut-être qu’en réalité, l’hésitation qu’elle avait penchait plutôt en sa faveur et qu’elle était perdue parce qu’elle ressentait quelque chose pour lui. Il voulait y croire. « J'ai peur. » Declan déposa sa main sur la chevelure blonde de la belle et caressa doucement ses cheveux d’un geste régulier pour la rassurer. Puis il l’attira vers lui et la serra dans ses bras un instant.

L’amour était une chose que l’on ne pouvait pas contrôler. Pourtant, Zahara était une fille qui méritait réellement d’être aimée. La belle devait avoir confiance en elle, en lui, elle qui était si sûre d’elle habituellement. Il ne reconnaissait pas ces petites faiblesses, ce n’était pas réellement le genre de la blonde, mais ce nouveau genre lui allait plutôt bien. « Il n’y a rien à comprendre, Zahara. Je t’aime, c’est tout ce qui compte. » lui dit-il tout en continuant à lui caresser les cheveux. Ça lui faisait tellement de bien de pouvoir le lui dire. Declan comprenait qu’elle soit un peu perdue, mais il espérait qu’elle ne doute pas un instant qu’il soit sincère. Il était un homme bien, il ne mentait pas aux demoiselles. Il était honnête. Il n’y avait pas de raison pour ça, il ne pourrait pas expliquer les raisons pour lesquelles il était amoureux de l’aîné des McClary. Declan n’avait pas pour but de mettre la pression à la jeune fille en lui révélant ses sentiments, mais elle devait bien se douter que s’ils n’étaient pas réciproques, il finirait par s’éloigner. Il souffrirait en continuant à l’aimer alors qu’elle ne le laissait pas entrer dans sa vie. Et elle venait de dire qu’elle ne voulait pas le perdre. Mais il préféra ne rien dire. Zahara n’était pas en état pour entendre qu’elle pourrait le perdre si elle continuait à le repousser. « Viens, on ne va pas rester dans l’entrée éternellement. » Il aurait voulu lui dire qu’elle ne le perdrait jamais, il aurait voulu la rassurer sur ce point là, mais il n’avait pas pu le dire tant qu’il ignorait si elle lui laisserait un jour la chance qu’il méritait d’avoir. Il espérait simplement qu’elle ne le remarque pas, qu’elle ne se pose pas plus de questions. Declan aida Zahara à retirer sa veste et il la déposa sur le canapé qu’elle connaissait si bien. Lui aussi retira la sienne. Il se dirigea vers la cuisine et servit un verre d’eau à la belle. Elle avait bien besoin de ça. Il le lui apporta alors, elle était toujours debout, mais s’était approchée de lui vers la cuisine. Il la regarda alors boire, un sourire aux lèvres. Elle était vraiment très belle. Jamais il ne pourrait se lasser de la regarder. Depuis deux ans, elle apportait quelque chose à sa vie, quelque chose de nouveau, de frais. Jamais il ne pourrait la laisser partir. Il était bien trop attaché à elle. Elle était un rayon de soleil dans sa vie, dans son appartement terne où il se sentait bien seul quand il rentrait du travail. Il n’était réellement heureux que quand elle était là, à ses côtés. Une fois qu’elle eut terminé son verre, il le lui prit délicatement des mains et le posa sur le plan de travail, puis il s’approcha d’elle à nouveau. « Tu sais, tu n’as pas à avoir peur de me perdre, je tiens trop à toi. C’est moi qui devrait m’inquiéter. Si tu tombais amoureuse d’un autre… je deviendrais fou. » C’était vrai, il ne pourrait pas supporter de la voir s’afficher officiellement avec un homme autre que lui alors qu’elle avait toujours refusé de le faire avec lui. Si elle tombait amoureuse d’un autre, alors elle ne verrait plus Declan et ça, il aurait du mal à le supporter. Bien sûr, il se ferait une raison, il ne tenait pas à gâcher la vie de la belle dont il était amoureux. Il ne s’interposerait pas entre elle et son petit-ami, mais il aurait beaucoup de mal à continuer à la fréquenter en étant simplement son ami. Ils ne pourraient plus être amants non plus. « Mais pour l’instant, tu es à moi, et rien qu’à moi, pour toute la nuit. » dit Declan avec un sourire plus malicieux. Il fallait qu’ils cessent de trop réfléchir, qu’ils pensent à autre chose, qu’ils se détendent un peu après la déclaration qu’avait fait Declan à Zahara. Elle n’était pas obligée de lui répondre maintenant, elle pouvait prendre son temps pour réussir à cerner ce qu’elle ressentait pour lui. Il s’avança vers elle et l’embrassa tendrement. A présent qu’elle connaissait les sentiments qu’il avait pour elle, il n’avait plus à retenir la passion qui l’animait pour elle.

Sans lui laisser le temps de réagir, il attrapa Zahara pour la porter dans ses bras et l’amena jusqu’à la chambre où des pétales de roses étaient disposées un peu partout au sol et sur le lit. Il déposa sa belle sur le bord du lit pour qu’elle puisse s’y asseoir et s’assit à ses côtés. « Je ne te forcerais pas à savoir tout de suite que ce tu ressens pour moi, mais j’espère que tu finiras par le découvrir. J’attendrais. » dit Declan avec un doux sourire. Il avait attendu deux ans qu’elle tombe amoureuse de lui, et ça n’était pas arrivé, du moins pas assez pour qu’elle ne veuille se poser avec lui, mais il pouvait encore attendre un peu. « Quelque soit le résultat de tes découvertes, je ne veux pas que tu ais peur de m’en parler… même si tu découvres que tu ne m’aimes pas. Je préfère le savoir. » Et c’était compréhensible. Il espérait ne pas trop avoir cassé l’ambiance avec ses sentiments à la noix, ce n’était sûrement pas pour ça qu’elle avait accepté de passer la soirée chez lui.
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MessageSujet: Re: qui a dit que le romantisme n'existait plus? ► Declan & Zahara (terminé)   qui a dit que le romantisme n'existait plus? ► Declan & Zahara  (terminé) EmptyJeu 6 Sep - 22:20


La jeune femme ne savait pas ce qu'elle devait penser de ce que lui avait annoncé Yaxley. Zahara ne comprenait plus rien, c'était comme si elle ne s'y attendait pas qu'il ne pouvait pas avoir de sentiments pour elle. Alors que c'était tout de même très flagrant lorsque l'on y pensait. Athénora n'arrêtait pas le rabâcher encore et toujours, même Xander devait se poser certaines questions sur la relation entre son professeur de potion et sa soeur aînée. Mais la blonde quant à elle en avait vu simplement que du feu, elle ne c'était jamais imaginée qu'il puisse avoir de quelconques sentiments pour elle. Certes, il aurait pu avoir le béguin pour elle, pour son corps ou être attiré par elle, comme la plupart des hommes, mais de là a en être amoureux tout de même. C'était bien délicat, incompréhensible et étonnant pour l'ainée des McClary. La jeune femme était bien trop fragile ses derniers temps avec le professeur à ses côtés, c'était anormal et inhabituel chez elle, pourtant rien n'y faisait, c'était comme si elle était fragile par sa faute à lui. Qu'il lui faisait ressortir toute la fragilité qui était enfouie au plus profond de son être et qu'il arrivait à la calmer en un rien de temps. Est-ce que ce pointèlà, avait un rapport avec ce qu'elle pourrait ressentir également pour lui ? Possible sauf que la blonde ne savait vraiment plus ce qu'elle voulait. Chose bien étrange chez la McClary qui était connue pour être une femme capricieuse qui savait ce qu'elle voulait et qui l'obtenait quand elle le souhaitait. Lorsque le professeur de potions se rapprocha d'elle, Zahara ne bougea pas et le laissa faire afin de profiter le plus qu'elle pouvait. Oser lui dire qu'elle avait peur à cause de ce qu'elle pouvait ressentir pour lui, venant de la jeune sorcière était un très grand pas. Puisqu'elle avait plus tendance à être très voire trop fière afin de faire facilement de pareils aveux, comme lui le fait de lui avouer les sentiments qu'il avait envers Zahara. « Il n'y a rien à comprendre, Zahara. Je t'aime, c'est tout ce qui compte. » La blonde leva les yeux vers son supérieur un léger sourire se dessinant sur ses lèvres, il pouvait la calmer plus facilement que n'importe qui. Elle était connue pour être une jeune femme forte et difficile, mais avec lui, elle était bien trop fragile et simple. Comme s'il la changeait lorsqu'elle se retrouvait enfin seule en sa présence. Le problème était certainement l'honnêteté du sang-pur qui gênait la damoiselle, elle ne savait qu'y faire et ne pouvait pas penser une seule seconde qu'il puisse lui mentir. L'aînée McClary regarda le maître des potions sans rien dire, elle ne pouvait pas vraiment ajouter grand-chose. « Viens, on ne va pas rester dans l'entrée éternellement. »

Un petit sourire en coin se dessina sur les lèvres de la blonde lorsqu'il commença à lui enlever sa veste. C'était un geste anodin pour beaucoup de gens, mais pour elle, à ce moment précis, la manière dont il l'avait fait signifiait autre chose. Enfin en général, lorsqu'ils enlevaient leurs vestes, les choses sérieuses commençaient réellement. Pourtant, ce soir-là tout était différent et donc il ne fallait pas être étonné si rien ne se passait comme d'habitude. Zahara resta étonnamment silencieuse en buvant le verre d'eau qu'il lui offrait attendant que quelque chose se passe. Mais il ne fit rien non plus. Elle hésitait à prendre des initiatives, hésitation qui ne lui allait pas vraiment très bien lorsque l'on y repensait. Cela ne convenait pas avec la jeune femme qu'elle était. La jeune femme regarda le mangemort avec des yeux de merlans frits, comme si c'était bizarre qu'elle tombe amoureuse d'un autre. En même temps il fallait qu'elle soit déjà amoureuse pour en choisir un autre non ? Enfin, elle était vraiment perdue à force. Et effectivement, il la faisait douter et avoir peur, mais elle ne voyait pas comment il pourrait la perdre, elle était bien trop attachée à lui inconsciemment pour le laisser la quitter.

« Mais pour l'instant, tu es à moi, et rien qu'à moi, pour toute la nuit. » Là, tout devenait plus intéressant d'un coup, même si Zahara avait du mal avec la notion de propriété vis-à-vis d'elle, elle réprima une petite grimace. Le sourire malicieux qu'il lui offrit, la blonde le lui rendit, au moins, de cette manière, ils seraient tous les deux forcement d'accord, afin de se retrouver sous les draps. Mais il n'avait pas tors, pendant toute la nuit, elle serait avec lui et seulement avec lui. Personne d'autre ne pouvait faire l'affaire pour la jolie blonde ce soir-là. Seuls, ensemble dans l'appartement du professeur, tranquilles. Rien de tel pour passer un bon moment tous les deux. Le baiser qu'il lui offrit fut tellement passionné qu'elle s'en étonna presque. En général, si l'un d'entre eux offrait ce genre de baiser à l'autre c'était plutôt elle, mais Zahara ne pouvait pas dire non pour autant tout de même. Declan étonna la jeune femme lorsqu'il la prit dans ses bras afin de la porter. Elle se demandait ce qu'il comptait faire, mais s'en aperçut bien vite, lorsqu'elle découvrit la chambre avec de plus en plus de pétales éparpillées un peu partout sur le sol. Tout était assez bizarre dans la tête de la blonde, elle ne savait guère trop quoi penser de tout cela. C'était tout bonnement adorable de faire cela, seulement pour elle, mais que pouvait elle dire de plus ? Rien. Alors qu'il la déposait délicatement sur le lit, elle continua de regarder autour d'elle, bon elle la connaissait cette chambre, ce n'était pas la première fois qu'elle y venait. Loin de là. Sauf qu'il n'avait jamais fait ce genre de choses pour elle et personne d'autre auparavant donc elle était tout de même assez perdue. « Je ne te forcerais pas à savoir tout de suite que ce tu ressens pour moi, mais j'espère que tu finiras par le découvrir. J'attendrais. » La voix de l'homme la ramena à la réalité et à leur conversation qui était quelque peu trop sentimental pour la jeune femme. Il fallait qu'elle arrive à lui faire oublier cette conversation, mais elle aussi en premier lieu. Pour que tout aille bien entre eux, il fallait qu'elle évacue les doutes qui pouvaient se trouver dans sa tête blonde. Cependant, cela n'allait pas être facile pour autant de chercher comment oublier tout ce qu'il avait pu lui dire et ainsi par la même occasion ses craintes. Et surtout le fait de savoir ce qu'elle ressentait réellement pour lui, était affreusement terrifiant pour l'aînée McClary. Elle n'avait jamais ressenti ce genre de choses. Et Declan lui ne faisait que la dérouter, chose qui ne lui allait pas vraiment. Athénora ne faisait que dire qu'elle avait accepté seulement parce qu'elle avec des sentiments pour lui qu'elle ne voulait pas accepter et laisser sortir. Que la jeune femme c'était attachée au mangemort,. Chose tout à fait possible. Sauf qu'elle n'était pas prête, pas du tout à aller dans le même sens que lui, de vouloir les mêmes choses. Avec leur écart d'âge c'était impossible. « Quelque soit le résultat de tes découvertes, je ne veux pas que tu ais peur de m'en parler... même si tu découvres que tu ne m'aimes pas. Je préfère le savoir. » Zahara baissa instinctivement les yeux, comme si ce qu'il venait de lui dire était plus que gênant pour elle. Elle ne comptait pas reprendre ce qu'il lui disait, il ne valait mieux pas et puis surtout cela ne lui servirait à rien.

« J'espère tout de même très cher professeur que vous ne m'avez pas faite venir seulement pour m'annoncer les sentiments que vous avez pour moi. » La jeune femme sourit, avec un petit sourire plein de malice bien à elle. Lorsque la blonde voulait quelque chose, elle l'avait et là, à ce moment-là, la seule chose qu'elle voulait était Declan. Pour elle et seulement pour elle. Chose bien facile à faire dorénavant grâce aux sentiments qu'il avait envers elle. La blonde s'assit un premier lieu sur lui à califourchon afin de pouvoir faire face à son nouveau supérieur. Ils savaient tous deux qu'il était possible qu'elle prenne le dessus sur lui de nombreuse fois. « Mais aussi pour ce genre de choses. » Zahara fini sa pensée en embrassant aussi fougueusement le professeur qu'elle pouvait. Tout en profitant de l'effet de surprise pour l'allonger sur le lit pendant qu'elle continuait à l'embrasser. La fille McClary avait ses idées de ce qui allait se passer ce soir-là et elle prenait enfin les rênes de la soirée, c'était tellement plus facile pour elle, cette partie là. Cependant, elle s'arrêta un instant afin de fixer le professeur dans les yeux. « Seulement si vous le désirez professeur. » La façon dont elle lui parlait sonnait un petit peu bizarre, il était rare qu'elle l'appelle professeur lorsqu'ils n'étaient que tous les deux. Non, elle en profitait en général pour l'appeler par son prénom. C'était tellement plus simple dans ses moments là. Pourtant, elle trouvait que le terme professeur dans ce petit jeu sensuel qu'elle lui offrait passait très bien, ne serait-ce que pour appuyer ses mots. Zahara déposa de nouveaux ses lèvres sur Yaxley, mais se dépêcha en le poussant encore un peu afin d'avoir le temps pour se relever. La blonde resta face au professeur un instant ans bouger, elle le regardait en souriant. Elle commença à dégrafer sa robe puis s'arrêta. « Je suis idiote, peut-être que tu préfèrerai le faire toi-même ? » La jeune sorcière garda son sourire malicieux aux lèvres en attendant que le professeur face quelque chose. Sauf qu'elle ne resterait pas plantée devant lui à l'attendre cent cinquante ans.
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MessageSujet: Re: qui a dit que le romantisme n'existait plus? ► Declan & Zahara (terminé)   qui a dit que le romantisme n'existait plus? ► Declan & Zahara  (terminé) EmptyMar 11 Sep - 7:38

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qui a dit que le romantisme n'existait plus?
Declan R. Yaxley & Zahara E. McClary

Declan avait enfin avoué à Zahara ce qu’il ressentait pour elle. Il ne lui demandait bien sûr pas de lui répondre tout de suite, mais il aurait aimé savoir que ses sentiments étaient réciproques. Zahara n’avait peut-être jamais pensé à Declan de cette façon. Il devait lui laisser le temps de s’y faire, d’envisager qu’ils pourraient devenir un couple. Ils formeraient d’ailleurs un très beau couple, un couple envié de tous si seulement ils s’aimaient. Zahara avait peur de se caser, il ignorait pourquoi. Le professeur Yaxley était peut-être trop mature pour comprendre qu’elle souhaitait conserver sa liberté. Elle ne voulait pas lui appartenir. Declan n’avait plus qu’à garder l’espoir d’être assez bien pour que la jeune fille n’accepte de sortir avec lui et peut-être même plus dans l’avenir. Peut-être qu’elle accepterait un jour de l’épouser, peut-être qu’ils auraient des enfants. Il s’emballait un peu trop. Il scruta les yeux de la jeune femme en espérant y trouver un semblant de réponse. Elle devait se rendre compte qu’elle ne pourrait pas garder le professeur longtemps dans ses filets sans lui donner plus que ce qu’ils avaient. Il avait très bientôt trente ans, il voulait avoir plusieurs enfants et ne voulait plus trop tarder. Declan dit alors à Zahara que quand elle le découvrira, elle devait le lui dire, qu’elle l’aime ou non. Declan voulait savoir à quoi s’en tenir. Le jeune homme ne voulait pas aimer la jeune femme toute sa vie si elle ne ressentait pour lui que de l’attirance et rien d’autre. Il devrait alors trouver une autre femme potentielle. Il était assez séduisant, il plaisait mais ça ne serait pas facile car la seule femme qui le satisfaisait était en face de lui. Zahara baissa les yeux et il ne sut pas trop comment l’interpréter, alors il préféra ne pas y accorder trop d’importance. Elle ne lui répondit pas. Il ne réagit pas non plus. Il savait qu’il lui fallait du temps et il était du genre patient. Alors il patienterait en attendant d’avoir une réponse, encore un peu. Il la comprenait, d’un côté. Il espérait que ça ne prendrait pas trop de temps. Il lui donnait encore quelques semaines, voir quelques mois. Maintenant qu’elle connaissait ce qu’il ressentait pour elle, il avait la sensation que ça ne durerait plus très longtemps, qu’elle finirait par l’accepter ou le rejeter. Zahara avait beau être une enfant gâtée qui obtenait ce qu’elle voulait, elle n’était pas un monstre. C’était une femme bien et si elle ne ressentait rien pour Declan, elle le laisserait sûrement partir. Chose dont il n’avait bien sûr pas envie. Mais il préféra ne pas y penser et se vida la tête.

Un léger silence s’installa dans la chambre du professeur, un silence que Zahara allait très vite chasser en sortant ses atouts de séductrice comme elle savait si bien le faire. Elle souhaitait sans doute changer de sujet et il n’en était pas surpris. Et puis c’était tout à fait le genre de Zahara d’agir de la sorte, elle se montrait très douée pour changer les choses quand ces dernières ne lui plaisaient pas. « J'espère tout de même, très cher professeur, que vous ne m'avez pas faite venir seulement pour m'annoncer les sentiments que vous avez pour moi. » Zahara accompagna ses paroles d’un sourire plein de malice. Le changement d’ambiance était radical et Declan ne put s’empêcher de répondre à son sourire par un autre. Il aimait bien la tournure que prenait la situation. Elle vint s’asseoir à califourchon sur lui. Il était content que l’annonce de ses sentiments n’ait pas gâché l’ambiance car après tout, ça n’était en effet pas que pour lui avouer son amour qu’il l’avait invité. Il la déshabillait déjà du regard. « Mais aussi pour ce genre de choses. » ajouta Zahara. Puis elle embrassa le professeur fougueusement. D’un coup, la température ambiante avait grimpée de quelques degrés. Il fut surpris par l’audace de la jeune femme même si ses compétences n’étaient plus à prouver. La belle savait tout à fait s’y prendre avec un homme. Elle en profita pour l’allonger sur le lit. Il aimait quand elle prenait ainsi les rênes. Elle était vraiment parfaite. Il ne pouvait pas espérer mieux. Il était vraiment amoureux. Zahara s’arrêta un instant et le fixa. « Seulement si vous le désirez professeur. » Declan sourit. Il n’avait jamais été le professeur de la belle blonde et il ne partageait pas vraiment le fantasme de coucher avec l’une de ses élèves. Ainsi, c’était un peu maladroit de la part de Zahara de l’appeler comme ça. Il préférait simplement qu’elle le voit en tant qu’homme et non en temps que professeur ou patron. Heureusement, c’était rare qu’elle le fasse. Il ne lui en voulait pas non plus et ce n’était pas ça qui changerait l’ambiance déjà très réchauffée de la pièce. La belle déposa à nouveau ses lèvres sur celles de Declan. Comment lui résister ? Elle pouvait lui dire tout ce qu’elle voulait, il serait toujours faible face à elle. Elle le poussa un peu et il s’appuya sur ses coudes.

Après avoir mis fin au baiser, Zahara se releva légèrement, toujours à califourchon sur Declan et commença à dégrafer sa robe tout en lui jetant un regard sensuel. Il la regarda faire, des étoiles dans les yeux, comme si l’on ouvrait un beau cadeau devant lui. Zahara avait quand même un corps de déesse et il avait eu de nombreuses occasions de le voir. Mais à chaque fois, c’était un délice pour les yeux. Il n’avait jamais vu une femme aussi belle qu’elle. « Je suis idiote, peut-être que tu préfèrerais le faire toi-même ? » dit-elle en s’arrêtant, toujours le même sourire aux lèvres. Declan avait tellement de chance d’avoir une fille comme l’aînée des McClary dans sa vie. Il n’était pas contre regarder la belle se déshabiller devant lui, mais il aimait aussi ouvrir ses cadeaux par lui-même. Zahara le regarda et il fixa son regard sur robe de la demoiselle. La belle lui faisait déjà de l’effet. Jamais il ne se laisserait de la regarder. Alors il se releva tout en posant ses mains sur la taille de la belle afin qu’elle ne parte pas en arrière. Assis sur le lit, la demoiselle sur ses genoux, il lui caressa le bas du dos tout en laissant ses mains se balader aux alentours. « Seulement si tu arrêtes de m’appeler professeur au lit. » dit Declan avec un sourire. Elle était bien obligée de l’appeler en classe comme ça, mais il préférait que cela s’arrêter à la salle de potions. Quand ils étaient seuls, c’était Declan ou d’autres noms, mais ni monsieur, ni professeur. Il se sentait déjà assez âgé pour elle comme ça, il n’avait pas besoin qu’on le lui rappelle. Il passa alors ses doigts au même endroit qu’elle pour continuer à dégrafer la robe. Il était devenu assez doué pour ces choses là avec tous les vêtements compliqués que portaient les femmes à cette époque. Même si à part Zahara, Declan ne voyait plus d’autres femmes depuis deux ans. Il était très sérieux, autant au travail que dans sa vie sentimentale. Il lui était arrivé une ou deux fois, peut-être, de s’aventurer ailleurs parce que Zahara le frustrait énormément en le rejetant et en fréquentant d’autres hommes, mais c’était sans doute arrivé moins de fois que la jeune femme. Puisqu’il était amoureux d’elle, il voulait lui rester fidèle. Les fois où il avait accepté de voir d’autres femmes, c’était quand il avait perdu espoir qu’il se passe un jour quelque chose avec la fille des McClary.

« Si tu savais à quel point j’ai rêvé de t’enlever cette robe ce soir au bal. » dit Declan tout en terminant de dégrafer les derniers boutons. Yaxley fit glisser la robe de la jeune femme sur ses hanches, dévoilant la belle lingerie de son soutien-gorge. Il avait toujours admiré le goût de Zahara en matière de vêtements et de lingerie. Mais elle était si belle qu’elle pouvait sans doute porter n’importe quoi, tout lui irait. En quelques mouvements, ils se débarrassèrent du bout de tissus et l’envoyèrent à l’autre bout de la pièce. « Tu savais que tu étais à tomber là dedans et que beaucoup d’élèves frustrés se sont rincés l’œil ? Ce n’est pas très sérieux pour une assistante. » Voilà qu’il lui faisait maintenant des reproches. Pourtant, ses gestes tranchaient avec son discours. Ses mains se baladaient sur la peau douce et nue de la jeune femme. Elle était parfaite. Il aimait la toucher, la sentir frissonner sous ses doigts. Il captura le visage de la belle blonde entre ses mains et l’embrassa passionnément, amoureusement. Declan passa alors ses mains dans le dos de la jeune femme et lui déposa de multiples baisers sur le menton, puis dans le cou et enfin sur l’épaule. Il comptait profiter de cette nuit comme il n’en avait jamais profité puisqu’il était à présent libéré de ses sentiments. Il n’avait plus à prétendre que la situation où Zahara n’était là que pour ce moment lui allait. Il n’avait plus à accepter qu’elle parte au beau milieu de la nuit sans s’y opposer. Il n’avait plus à prétendre et c’était bon. Passant ses mains sur la bretelle du soutien-gorge de Zahara, il la fit tomber et se faufila au dos pour dégrafer ce tissu en trop. Lui-même, toujours en chemise, commençait à avoir un peu trop chaud et son pantalon, lui, commençait naturellement à être un peu trop serré. Le professeur embrassa la jeune fille dans le cou, puis sur la poitrine, mais remonta vite à ses lèvres qui lui manquaient déjà. D’une main déjà impatiente, Declan commença à déboutonner sa chemise en espérant que Zahara prenne le relai.
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MessageSujet: Re: qui a dit que le romantisme n'existait plus? ► Declan & Zahara (terminé)   qui a dit que le romantisme n'existait plus? ► Declan & Zahara  (terminé) EmptyMer 3 Oct - 9:37


Oublier ce que l'on pouvait lui dire et de cette manière éviter le sujet le plus possible ? Et bien l'aînée McClary était passée maître dans cet art. Enfin, elle devait tout de même avouer pour une fois que c'était très déstabilisant ce qu'il lui annonçait là? Les sentiments du professeur de potion, elle ne s'y attendait pas vraiment. Certes, ils étaient proches, qu'il se soit un tant soit peu attaché à elle, Zahara aurait pu le concevoir, mais de là à l'aimer ? Elle se demandait si c'était vraiment possible. Non mais sérieusement d'où elle méritait qu'il ait ce genre de sentiments pour elle ? Enfin, tout cela était la théorie de la jeune femme, les sentiments ne se contrôlaient pas elle devait le savoir, surtout avec son frère et sa petite amie. Elle ne supportait d'ailleurs pas le fait qu'il puisse être en couple, mais soit, il faisait ce qu'il voulait après tout. Il était bien assez grand pour choisir ce qu'il y avait de mieux pour lui et si c'était un impure tant pis pour lui. Mais revenons en à Declan et Zahara les deux mangemorts, la plus avait beau encore être sous le choc de l'annonce du professeur, mais elle était tout de même habituée à essayer d'oublier ce qu'il pouvait lui dire qui restait dans ce genre-là, parler de leur situation. Leur relation actuelle plaisait à la jeune femme, mais elle ne voudrait pas la perdre pour autant.

Une fois dans la chambre du professeur elle était une autre femme si l'on pouvait dire, puisqu'elle avait plutôt tendance à oublier tout ce qu'ils pouvaient se dire en dehors. Cette pièce était celle du plaisir et elle comptait bien en profiter avec le mangemort dans le lit de celui-ci. La jeune femme profitait de ce genre de moment avec lui, c'était loin de lui être désagréable sinon elle ne serait pas là, il faut bien l'avouer. Alors, pouvoir s'amuser un petit peu avec lui était juste merveilleux, elle se retrouva près de lui très vite. Jouer avec lui était une chose que Zahara aimait faire, se jouer de ses atouts pour le faire craquer, certes c'était plutôt facile avec Declan, mais là n'était pas le problème pour la jeune femme. Zahara faisait retourner les hommes sur son simple passage et elle le savait, elle jouait souvent avec cela. Cela la faisait rire comment certains pouvaient penser qu'elle n'était qu'un simple morceau de viande fraiche. Sauf que le maître des potions quant à lui n'était pas comme cela, enfin il voyait très bien qu'elle n'était pas simplement une personne dont il pourrait profiter. Certes, elle pensait qu'au début de leur relation il pouvait penser ainsi, s'amuser avec elle, quoi que, il n'avait pas son âge et elle était loin d'être une ingénue. Ce point-là était connu chez la jolie blonde et elle n'en avait aucunement honte. Bien sûr certains pourraient dire qu'en tant que jeune fille de bonne famille elle ne devrait pas se comporter ainsi, mais elle était jeune et comptait bien profiter de ce point. Sinon à quoi cela servait d'avoir vingt ans, si on ne profitait pas du plus bel âge ? A rien, voilà son crédo.

La voilà face au mangemort en le regardant d'une manière plutôt maligne et malicieuse, elle n'attendait qu'une chose. Elle souriait de la même manière attendant qu'il réponde à sa toute dernière question, il fallait dire qu'elle était venue pour une certaine chose. Pas forcement de toujours discuter tous les deux, certes elle n'allait pas non plus lui sauter dessus à peine la porte passée. Encore moins, avec ce qu'il avait fait ce soir-là pour elle. Elle n'en revenait toujours pas en regardant le lit et en voyant les pétales qu'il avait déseminées dans la pièce. La jeune femme souriait et attendait qu'il fasse quelque chose. Declan se releva un petit peu et elle lui faisait toujours face, avant de répondre à la question qu'elle lui avait posé, il en profita pour balader ses mains dans le creux de ses reins. « Seulement si tu arrêtes de m'appeler professeur au lit. » Zahara sourit elle avait fait ça plus par amusement qu'autre chose, principalement pour l'ennuyer, elle n'aimait pas vraiment sous-entendre qu'elle était en dessous de lui dans la hiérarchie. Chose vraie cependant, elle mettrait certainement du temps à s'y faire, mais y arriverait bien un jour. « Promis patron. » La jolie blonde se mit à rire sous le regarda insistant et désapprobateur de Declan. « Bon d'accord j'arrête vraiment. » Cependant, Zahara ne donnerait certainement pas encore de surnom au beau professeur, elle n'était pas encore prête pour faire cela. Peut-être qu'un jour il y aurait le droit ce qui serait certainement, mieux pour lui. Néanmoins, il fit ce qu'elle lui avait demandé précédemment par la suite après les idioties de la jeune assistante. Qui en rigolait encore intérieurement. Elle le laissa donc dégrafer sa robe, elle repensait à tout ce qui pouvait se passer entre eux maintenant, sauf qu'il vaudrait mieux qu'elle évite si elle ne voulait pas attraper une migraine. « Si tu savais à quel point j'ai rêvé de t'enlever cette robe ce soir au bal. » La jeune fille arqua un sourcil, elle ne s'en serait jamais douté très cher, mais elle ne dit rien, c'était bien normal, elle avait fait tout pour. Athénora l'avait remarqué d'ailleurs, enfin elle avait insinué surtout qu'elle s'était faite aussi belle pour Declan principalement. Certes, c'était un moment idéal pour le faire, mais s'il n'avait pas été présent, la meilleure amie de l'aînée des McClary savait très bien qu'elle n'aurait pas fait autant d'effort. Chose que cette dernière n'avouerait certainement jamais. Zahara était bien trop fière pour le faire et la serveuse du bar A la Marque le savait mieux que n'importe qui.

La blonde se retrouva en sous-vêtement en un rien de temps, chose qui ne la dérangeait guère me direz-vous. « Tu savais que tu étais à tomber là dedans et que beaucoup d'élèves frustrés se sont rincés l'oeil ? Ce n'est pas très sérieux pour une assistante. » Les phrases contradictoires de Declan, toutes les mêmes, ce n'était pas rare qu'il le fasse, profitant d'un compliment afin de la réprimander par la suite. Cependant, Zahara ne faisait pas vraiment attention à ce qu'il disait, préférant profiter de sentir les mouvements sensuels des mains du beau mangemort sur son corps. Après que celui-ci ait profité de lui enlever les derniers bouts de tissus qui pouvaient lui rester, la jeune femme reprit les reines et poussa aussi violemment que ses bras frêles pouvaient faire la professeur sur son lit. Se remettant sur lui afin de le défaire des vêtements qui emprisonnaient son corps. Doucement puis fougueusement elle se mit à l'embrasser, puis ils allèrent tous deux de plus en plus loin jusqu'à l'épuisement.

Les deux mangemorts n'avaient pas passé de nuits aussi passionnés que leurs toutes premières nuits ensemble, en Biélorussie. La jeune femme se coucha contre Declan un sourire aux lèvres, elle avait beau ignorer ce qu'elle ressentait réellement pour le professeur, elle savait qu'il fallait qu'elle reste près de lui. Zahara avait besoin de Declan, elle le sentait, comme-ci sans lui tout serait différent.

THE END × la suite du DECLARA

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