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 all children grow up. except one. uh, no, maybe two. CAMIAM ♡

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MessageSujet: all children grow up. except one. uh, no, maybe two. CAMIAM ♡   all children grow up. except one. uh, no, maybe two. CAMIAM ♡ EmptyDim 3 Fév - 2:46


JACQUELINE & EDWARD
s'ils sont cousins-cousines, c'est pas par hasard.

Vous vous êtes déjà retrouvé dans une situation complètement dénuée de sens ? Un moment où vous avez l'air profondément con, et où vous ne pouvez agir autrement que ridiculement ? Il se trouve qu'en ce merveilleux jour, William s'était retrouvé dans une situation exactement comme cela. Fidèle à lui-même, il s'était octroyé une grasse-matinée bien méritée en ce dimanche ensoleillé, car il s'était levé à l'heure tous les jours de la semaine. Puis, il avait décidé d'aller faire un petit tour dans le parc et donc de profiter de la météo clémente, chose assez rare en Écosse pour qu'on trouve tout le monde dehors au moindre rayon de soleil. Il s'éloigna de la partie du parc bondée d'élèves, et se dirigea vers la rive opposée du lac. Après avoir fait le tour pour être assez loin du château et des élèves, il enleva son manteau, son jean, ses chaussures, chaussettes, sa chemise et plongea dans l'eau uniquement vêtu d'un caleçon. Cette habitude pour le moins incongrue était commune chez William, et il faisait toujours attention à être seul et à ne pas être vu des élèves lorsqu'il plongeait dans le lac. Il fit quelques brasses, nagea un peu sous l'eau, puis revint sur la berge où il se sécha rapidement grâce à la serviette qu'il avait pris soin d'emmener. Avant d'avoir eu le temps de sentir le vent froid, il s'était déjà rhabillé. Enfin... Ça, ç'aurait été s'il avait pu se rhabiller. Car TOUS ses vêtements sans exception avaient disparu. Oui. Disparu. C'était impossible, inimaginable, et William fit un tour complet sur lui-même en observant les alentours. Le petit malin qui avait fait ça allait le regretter. Il ne vit personne, et en déduit que le petit malin en question avait dû déguerpir vite fait, sans doute pour mieux voir le résultat de sa blague de loin. Will soupira, et haussa les épaules. Au moins, il avait toujours sa baguette, qu'il gardait pour plonger. Il prit le le bout de bois d'un air de chevalier, triomphal. Regardant avec misère ses petits pieds tous nus, il mit sa serviette sur ses épaules pour se réchauffer un peu, cachant légèrement son torse nu - qui, il fallait l'avouer, était magnifique pour un mec de quarante balais. William jeta un coup d’œil vers le parc, et il se rendit compte que traverser une zone grouillant d'élèves en caleçon n'était sans doute pas la meilleure idée qu'on puisse avoir. Il réfléchit un moment, puis décida donc de contourner le parc par la forêt. Une chose de toute évidence dangereuse, idiote et inutile, à part pour William. Il s'enfonça donc sous le couvert des arbres, qui laissaient passer quelques rayons de ce beau soleil de printemps-été. Il marcha d'abord dans des fouillis de branchages, mêlant ronces, orties et autres plantes très agréables au toucher. Will n'arrêtait pas de bougonner. Il eut mal, gueula fort, mais avança assez vite, motivé qu'il était par la douleur. Il ne savait pas trop où il allait, le sens de l'orientation n'étant pas vraiment son fort, mais il finit par trouver un chemin plus ou moins dégagé où marcher pieds nus ne faisait pas trop mal, et il le suivit donc.
Au bout d'un bon quart d'heure de marche, il arriva dans une clairière. Une belle et agréable clairière, avec de l'herbe verte et douce, qui chatouillait ses pieds, des oiseaux qui gazouillaient gentiment... LE PARADIS ?! all children grow up. except one. uh, no, maybe two. CAMIAM ♡ 594477 Non, en fait c'était juste une clairière normale, rassurez-vous. Parce qu'il y avait des arbres autour, et des bestioles comme des araignées, des botrucs et autres choses pas trop commodes dans le coin, mais William, heureusement, ne les vit pas. Il fit une halte, commençant à ressentir la fatigue, et s'allongea dans l'herbe douce et moelleuse. Il avait perdu toute notion du temps, et ne pensait plus à rien, tellement le moment présent était par-fait. Il observa les nuages défiler dans le ciel jusqu'à ce qu'il s'endorme, comme un bébé.
Un craquement le réveilla. Il sursauta, ouvrit les yeux et brandit instinctivement sa baguette. Le soleil était descendu et on voyait moins clair. Il devait être aux alentours de quatre heures de l'après-midi. William scruta la pénombre qui régnait sous les arbres, et lorsque le craquement retentit une seconde fois, il courut comme un lapin et grimpa à l'arbre le plus proche, se posta en équilibre sur une branche. (On passera le grimpage qui dura cinq bonnes minutes paniquées durant lesquelles le craquement retentit deux fois pendant que Will, ridicule, essayait en vain de monter. Mais il finit par y arriver.) Alors une silhouette portant un long manteau sombre se détacha de la masse sombre qu'étaient devenus les arbres. Elle s'avança dans la lumière de la clairière, et elle enleva sa capuche, laissant échapper une longue tignasse blonde... « CAMELOOOOOOOOOOOOOOTE ! » De soulagement, Will avait presque hurlé. Déséquilibré, il trébucha sur la branche, voulut redescendre, attrapa une feuille, et tomba comme un sac à patate par terre. Il éclata de rire avant de se tourner vers la garde chasse qui s'avançait vers lui en riant elle aussi. « Tu me sauves la vie tu sais ? » Il se releva en grimaçant et la prit dans ses bras, ignorant le fait qu'il était à moitié nu et plein d'écorchures et de branches et feuilles dans les cheveux. « Figure-toi, chère Camélia, que je me suis paumé dans la forêt à la suite d'une baignade dans le lac, où l'on m'a piqué mes vêtements. Du coup j'ai décidé de contourner le lac et le parc où plein d'élèves m'auraient vu par la forêt et donc j'avais mal aux pieds, et puis je suis tombé sur un chemin qui m'a emmené ici et je me suis assis, puis allongé, j'ai regardé les nuages et hop. J'ai un peu beaucoup dormi je crois. » Il haussa les épaules en riant innocemment. « J'ai eu TROP peur tu sais ? Non parce que voilà, un craquement de branches, une silhouette, dans la forêt interdite et tout... Moi je suis pas courageux comme toi hein. Qu'est-ce que tu fais là d'ailleurs ? » Il la regarda avec suspicion avait de se frapper le front, réalisant quelque chose qui lui était passé au dessus de la tête. « AH MAIS OUIIII. Pardon. J'avais oublié que t'étais garde-chasse. » Il la regarda avec bienveillance, tout émoustillé de n'être plus seul dans cette forêt qui commençait à ne plus être si inoffensive. Il était tout content d'avoir sa cousine avec lui. Laissa passer un petit silence. Puis, n'y tenant plus, il lui demanda sur le ton de la confidence: « Dis-moi, tu n'aurais pas un petit quelque chose à manger ? » Sourire dents blanches. « C'est que je crève la dalle moi. Pas toi ? T'as mangé ? Il est quelle heure au juste ? » Réalisant qu'il parlait beaucoup, William ferma sa bouche et se rendit compte qu'il avait toujours sa baguette dans sa main. Il la rangea donc dans sa poche et s'assit par terre, incitant Camélia à faire de même. Sa cousine était vraiment super chouette. Il était très fier d'avoir un lien de parenté avec cette fille exceptionnelle. En plus, il était presque sur que Oli et elle allaient finir par se marier un jour, et donc même s'il hésitait entre être le témoin d'Oli et le témoin de Camelote, il était sûr d'une chose: il serait le presque-frère d'Oli. Quelle réjouissante nouvelle, n'est-ce pas ? Rêvassant un peu, il reprit ses esprits, regarda Camelote fixement. Deux secondes fut le temps que mit l'information à atteindre son cerveau, et il lui lança un clin d’œil référant à leurs jeux d'enfants. « On joue à cache-cache ? Ou à action ou vérité si tu veux. Ou alors à... » Un bruit retentit. Il ouvrit de grands yeux, sursauta, se retourna et scruta le couvert des arbres. Puis, un peu paniqué, il se retourna vers Camelote. « C'était quoi ça ? »

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MessageSujet: Re: all children grow up. except one. uh, no, maybe two. CAMIAM ♡   all children grow up. except one. uh, no, maybe two. CAMIAM ♡ EmptyVen 8 Fév - 3:22


JACQUELINE & EDWARD
s'ils sont cousins-cousines, c'est pas par hasard.

C'était l'heure de la ronde, de l'inspection et on ne rigolait pas avec ça quand on était le garde-chasse de Poudlard. En effet pour Camelote sa ronde dans la forêt interdite était sa mission la plus importante à ses yeux bien qu'elle ne la fasse pas forcément pour les raisons qu'on pourrait croire. En effet aux yeux de tout le monde, elle devrait faire une ronde dans la forêt interdite pour vérifier qu'aucun intrus n'essayait d'entrer dans l'enceinte du château et pour aussi vérifier que les bébêtes qui grouillaient les lieux se tiennent à carreaux. Certes elle le faisait pour ça mais sa raison première était avant tout de voir si un sorcier résistant en fuite ne venait pas dans sa forêt et qu'elle puisse le protéger avant qu'il ne se fasse torturer à mort par l'un des mangemorts en patrouille qui se trouvait à Poudlard. Ça n'arrivait pas souvent mais sait-on jamais. Cette forêt avait la particularité d'être vaste et mystérieuse, peu de personnes la connaissait réellement. Camelote avait elle, la chance de faire parti de ces rares personnes. Elle pouvait dire sans se vanter qu'elle connaissait la forêt interdite mieux que Voldemort lui-même. Elle l'aurait bien défiée à une partie de cache-cache mais elle n'était pas stupide à ce point-là, elle ne voulait pas perdre la vie tout ça parce que Monsieur est mauvais joueur... Seulement dans l'esprit de tous, elle gagnerait c'est tout.

En tout cas toute excursion dans la forêt nécessitait une tenue de combat. Oui ça ne demandait pas un gilet part balle mais presque, c'était comme quand on partait pour une mission espionnage, incognito à haut risque. James Bond, il a toujours des protections mais il s'est fait genre qu'il a trop la classe et qu'il a besoin que d'un costume. Ouais, ouais tout le monde met des protections, on les a vu tes genouillères, James ! Enfin bref revenons-en à l'équipement de Camélia Jacqueline Clarke. Son équipement comportait déjà des solides bottes, à ce stade-là on pouvait parler de bottes de compétition. Ah oui c'était la Reine de la botte. Limite elles étaient à compartiments et elles recelaient bien des mystères... Surtout l'avantage premier c'est qu'elles avaient des avaient des semelles bien épaisses et pour affronter la boue c'était indispensable. Ensuite un pantalon serré de couleur sombre, un pull et un long blouson noir. Pour ses cheveux, Camélia les attacha en une élégante queue de cheval haute. Elle était parée ! Elle attrapa sa baguette et se mit en route. Lorsqu'elle était dans la forêt interdite, Camelote n'était pas la même femme que d'habitude. Elle était tout de suite plus calme et concentrée. Elle écoutait chaque bruit, guettait chacun mouvement car elle le savait, la forêt interdite regorgeait de dangers. Elle avait déjà été blessée lors d'excursions dans cette même forêt. Elle n'avait pas spécialement l'envie de finir la fin de son après-midi à l'infirmerie. Victoire et Ted étaient certes très sympathiques mais bon moins elle les voyait dans ce cadre-là mieux elle se portait. Elle n'était pas contre de boire un verre avec eux par contre. On ne pouvait pas dire qu'elle n'était pas sociable cette demoiselle ! Enfin bon ce n'était pas le moment, elle devait se concentrer, une bête monstrueuse pouvait l'attaquer d'un moment à l'autre. Il fallait qu'elle se tienne prête à riposter ou au moins se défendre. Dans son cas ça serait plutôt se défendre parce qu'elle n'aimait pas tuer des créatures pour le plaisir. Elle le faisait seulement si elle n'avait pas d'autres choix. Non Camélia Clarke ne prônait pas la violence même si elle était mangemort pour les apparences.

Soudain alors que tout se passait bien, elle repéra une silhouette dans un arbre, elle sentit une présence. C'était sûr quelqu'un ou quelque chose était là, elle n'était pas seule. La demoiselle était bien décidée à découvrir ce qui ou quoi ce cachait là et elle ne ferait pas de quartier ! Camelote mit alors sa capuche afin d'être encore plus incognito. Imaginons que la silhouette présente la reconnaisse et lui veuille du mal. Elle s'avança à pas de loup, baguette en main en direction de l'endroit d'où provenait le bruit. Alors qu'elle ne trouvait pas grand chose, on luit « cria » dessus au même moment où elle enlevait sa capuche. « CAMELOOOOOOOOOOOOOOTE ! » Heureusement que Camelote était capable d'avoir du sang froid parce que sinon elle aurait pu crier le plus fort qu'elle puisse. En tout cas cette voix elle serait capable de la reconnaître parmi une foule car elle lui était très familière. Évidemment c'était une personne de sa famille, oui la sienne ! « WILIAM ! » Au même moment ce dernier atterrit comme un sac à patates sur le sol. La demoiselle ne put s'empêcher de rire. Sérieusement c'était trop drôle ! William n'était pas son cousin pour rien, dans un sens, tous les deux ils étaient très doués ! « Tu me sauves la vie tu sais ? » Ouais c'était son passe-temps dans la vie, elle attendait dans les arbres que quelqu'un ait besoin d'aide puis elle venait lui sauver la vie. Elle gagnait de ces expériences une reconnaissance éternelle, certains lui donnaient de l'argent ou de la nourriture alors qu'est-ce qu'attendait William pour lui donner son dû ? Attention, s'il ne donnait rien, la prochaine fois il se pourrait qu'elle le laisse mourir... en caleçon en plus ! « Figure-toi, chère Camélia, que je me suis paumé dans la forêt à la suite d'une baignade dans le lac, où l'on m'a piqué mes vêtements. Du coup j'ai décidé de contourner le lac et le parc où plein d'élèves m'auraient vu par la forêt et donc j'avais mal aux pieds, et puis je suis tombé sur un chemin qui m'a emmené ici et je me suis assis, puis allongé, j'ai regardé les nuages et hop. J'ai un peu beaucoup dormi je crois. » Quelles péripéties ! Il avait une vie dingue et tellement trépidante, Camelote en serait presque jalouse si elle n'avait pas elle-même une vie remplie de rebondissements. « J'ai eu TROP peur tu sais ? Non parce que voilà, un craquement de branches, une silhouette, dans la forêt interdite et tout... Moi je suis pas courageux comme toi hein. Qu'est-ce que tu fais là d'ailleurs ? » Camelote le regarda bizarrement. Il était sérieux en posant cette question ? Elle avait toutes les raisons du monde d'être dans la forêt interdite contrairement à lui ! Pfff, sacré William, il est l'heure de se réveiller ! « AH MAIS OUIIII. Pardon. J'avais oublié que t'étais garde-chasse. » Et ben c'est pas trop tôt ! Non mais parce qu'elle a failli attendre et douter réellement de sa santé mentale. Elle a failli l'emmener illico presto à Ste Mangouste sans passer par la casse départ et sans recevoir les deux mille euros... « Dis-moi, tu n'aurais pas un petit quelque chose à manger ? » Mais bien sûr elle se trimbalait toujours avec des lasagnes sur elle et quand c'était férié, elle avait même un pudding entier dans sa veste. Bah attendez, ce n'était pas pour rien que son manteau était aussi long ! Vous croyez que c'est pour faire joli? Bande de naïfs ! « C'est que je crève la dalle moi. Pas toi ? T'as mangé ? Il est quelle heure au juste ? » Il lui faisait de la peine. On aurait dit un grand gamin affamé. Il avait complètement perdu la notion du temps en plus. Ah lala, en plus juste en caleçon il lui donnait froid ! Mais en même temps n'ayant pas vraiment la même carrure pour ne pas dire, pas du tout, Camelote n'avait rien à lui passer. « On joue à cache-cache ? Ou à action ou vérité si tu veux. Ou alors à... » A peine eut-il fini de parler, qu'un bruit surgit derrière un buisson. « C'était quoi ça ? »

Cam-Cam était déjà sur le qui-vive. On ne sait jamais ce qui pouvait débouler de derrière un buisson, vous seriez surpris de certaines aventures qu'avaient connues la demoiselle. Il y en avait des chouettes comme des moins chouettes. Tout à coup un écureuil se montra détendant Camelote qui ne put s'empêcher de dire à son cousin : « C'est qu'un petit écureuil de rien du tout, faut pas avoir peur Willy ! » Elle fit une rapide pause avant de rajouter : « Bon par où commencer parce que t'en as dit des choses, je commence à m'y perdre, moi ! Faut que tu ralentisses un peu, c'est pas pour rien que t'es mon cousin, tu parles, tu parles et les autres ben ils ont du mal à te suivre. Bon moi comme on a des gènes en commun, j'arrive encore à suivre à peu près mais c'est déjà difficile ! » Elle lui fit un sourire puis reprit. « On doit être aux environs de quatre heure, de l'après-midi je pense. Fin j'ai pas de quoi lire l'heure sur moi mais je fais ma ronde à peu près toujours à la même heure et non j'ai pas faim parce que moi j'ai super bien mangé figure-toi ! Le repas de midi était encore excellent ! Ces Elfes ont des doigts de fées, franchement j'hésite à en piquer un et le ramener chez moi mais je suis pas sûre que la direction serait d'accord avec ça... Et désolé mais j'ai pas de nourriture sur moi, la prochaine fois préviens-moi avant. » Ce n'était pas vraiment dans le domaine du faisable ça mais bon Camelote disait bien ce qu'elle voulait en même temps.... « En tout cas ces gamins ont pas été tendre avec toi, ils auraient au moins pu te laisser un t-shirt ou un pantalon franchement ! Ah moins que c'était pour satisfaire tes admiratrices, t'es quand même pas mal conservé bien que t'es passé ton premier centenaire. J'ai même pas un vêtement pour toi, je veux pas que tu déchires mon pull ou mon super manteau de garde-chasse. Ce qu'on pourra faire c'est que tu mettras derrière moi jusqu'à ce qu'on soit arrivé dans tes appartements... »

Camelote se gratta la tête avant de rajouter. « En tout cas j'y repense mais je suis sûre qu'on peut trouver de quoi te nourrir dans la forêt interdite, elle regorge de ressources insoupçonnées ! Tu serais très surpris. Et pour le jeu, si on joue à cache-cache, j'ai bien peur que tu ne me retrouves jamais et pire que tu perdes dans cette forêt, c'est pas vraiment une bonne idée. Un action-vérité me tente plus mais ça te dérange pas de rester en caleçon encore un bout de temps ? Moi ça me dérange pas, je trouve ça même bien comique mais c'est pour toi. Et c'est toujours un plaisir de te sauver la vie, cher cousin. » Elle lui fit un large sourire dévoilant ses dents toutes blanches.
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